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Appel d'offre
- Organisation du 2ème tour des travaux de traitement de la pierre avec essais sur place.
- Appel d'offre pour les travaux de consolidation de la tour lanterne, les travaux de charpente, couverture,
ferblanterie et paratonnerre.
- Appel d'offre pour les mandats d'ingénieur civil (intérieur de la Collégiale), d'ingénieur en électricité
et d'ingénieur en physique du bâtiment pour l'étude de l'étape II.
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Vue aérienne façade ouest
Vue aérienne des deux flèches
Vue lointaine des deux flèches
Vue lointaine de la collégiale
Les échafaudages de la tour lanterne et des deux flèches
Vue depuis la flèche nord
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Montage des échafaudages
- Fin du montage des échafaudages de l’étape I sur la tour lanterne et les deux flèches en mai 2010.
Etanchement des échafaudages à travers les toitures. Pose de filets de protection.
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Analyse présence eau souterraine
- Analyse de l’eau souterraine et de l’écoulement de l’eau dans le sous-sol et sous les fondations du bâtiment.
Repérage des strates géologiques.
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Découverte lors des fouilles
Enlèvement de la chape du sol du cloître
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Travaux d’archéologie
L'Office cantonal de la protection des monuments et de sites a conduit des fouilles archéologiques dans les galeries du cloître. Cette intervention était motivée par le remplacement programmé de l'ancien sol en béton, par l'installation de conduites et par la nécessité de mieux connaître la nature du sous-sol et des substructions maçonnées avant d'entreprendre les travaux de restauration. Le dégagement superficiel de l'ensemble de la surface a mis en évidence l'absence totale de sols médiévaux, ceux-ci ayant été détruits lors de l'abaissement général du niveau de circulation en 1870. Par contre, pour la première fois, des vestiges du cloître primitif (13e siècle), détruit par un incendie en 1450, ont pu être formellement identifiés au sol comme en élévation, nous permettant d'en restituer le plan et, en partie, l'élévation.
Deux sondages profonds ont été conduits l'un au droit du mur nord de l'église, l'autre sur l'ensemble d'une des travées de la galerie nord du cloître. Plusieurs dizaines de tombes datées du 13e au 16e siècle ont été dégagées à cette occasion et documentées par le Dr. Lucie Steiner, de l'entreprise Archeodunum. Il apparaît que les galeries du cloître étaient un lieu de sépulture prisé par les neuchâtelois des deux sexes et de tout âge jusqu'à la Réformation. Jusqu'à maintenant, aucun vestige antérieur à la construction des galeries du cloître ou à celle des fondations du mur nord de l'église (12e siècle) n'a été clairement identifié.
La documentation et le matériel réunis à cette occasion vont maintenant être traités et analysés, alors que sur le terrain, l'étude archéologique du cloître va se poursuivre par la documentation et l'analyse des parements intérieurs des murs des galeries, dont les enduits de ciment ont été enlevés dans la même phase de travaux. A la suite des fouilles, ce dernier travail devrait amener de nombreuses informations sur l'histoire et l'aspect d'une construction étroitement liée aux origines de la ville de Neuchâtel et dont on supposait il y a peu encore, qu'elle avait été entièrement reconstruite au 19e siècle.
Christian de Reynier - OPMS - 10.8.2010
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Espace information
Installation d’une zone d’information comprenant une borne donnant accès au site Internet de la restauration de la Collégiale, ainsi que diverses documentations sur les manifestations cultuelles et culturelles ayant lieu dans la Collégiale.
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Façade sud
Façade ouest
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Documentation
Relevé pétrographique des façades de la Collégiale, soit caractérisation et localisation des différents types de pierres utilisés lors de la construction de l’église ou à l’occasion de ses transformations ultérieures. L’inventaire lithologique participe à la connaissance matérielle d’un monument et à la détermination de son état de conservation: il aide l’archéologue à détecter, à préciser ou à confirmer certaines étapes de construction par exemple, à l’ingénieur civil il permet d’approcher la complexité des structures, au conservateur-restaurateur d’expliquer l’état de conservation de certaines surfaces, au tailleur de pierre de cibler ses interpolations éventuelles, etc. La description lithologique d’un édifice est donc d’une utilité multiple et constitue une base indispensable à la mise sur pied du projet de restauration monumentale.
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